Récits de voyage  a la recherche du bateau parfait Nautitech
Stephen

A la recherche du bateau parfait

Méditerranée
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On ne le trouve jamais !

Stephen

Stephen a consacré de longues années à chercher un voilier conforme à ses exigences. Après une première expérience ratée, le nouveau 44 lui est apparu comme fait pour lui

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Nautitech 44 Open

Comme une impression que ce Nautitech avait été conçu pour eux

Le 44 Open les a conquis au premier regard

1

Chercher le bateau idéal

Un obsédé du bateau idéal dressait ce constat un rien désabusé, après avoir acheté et revendu des dizaines d’unités de toute taille et de toute nature : « On ne le trouve jamais ! » Celui-là n’aurait pas convaincu Stephen, loin de là. Stephen est un réaliste. Il sait que le voilier parfait n’existe pas. Il a donc cherché le bateau parfaitement adapté. A son programme, à ses exigences, à son budget et aussi à son refus d’attendre. Et il a fini par trouver : il vient de parcourir un millier de milles à bord de son Nautitech 44 et il en est encore ébloui.

 

Stephen est un homme pressé. A l’approche de la cinquantaine, il est lesté d’un cv bien rempli. Fondateur et dirigeant d’entreprises à succès, il est le chef d’une nombreuse famille. Il a l’amour de la voile chevillé au corps depuis sa plus tendre enfance. Mais il a remisé cet amour dans un coin de son cerveau pendant vingt ans, la faute à un agenda surchargé et à son autre grande passion.

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2

Vivre sa vie

à fond la caisse

Stephen est fou d’acrobatie aérienne, il adore piloter les surpuissants monomoteurs de voltige. Il adorait, du moins. Parce que ses loopings et ses chandelles commençaient à tirer de plus en plus fort sur son organisme. Il s’est dit qu’il était temps de revenir sur terre. Sur mer, plus exactement. La voile n’avait jamais quitté le fond de ses pensées.


Stephen vit sa vie à fond la caisse, mais il est avisé et méthodique. Il n’a pas hésité à consacrer cinq longues années d’une existence trop bien remplie à la recherche du « Proper Yacht », concept défini par le navigateur et auteur américain Arthur Beiser. Ce « right boat » est le bateau approprié, exact, juste. Le bateau parfait ? En tout cas, celui qui se rapproche le plus ce cet idéal. Donc le meilleur bateau possible.


Stephen est méthodique : « Il y a tant de paramètres à prendre en compte, tant de termes -parfois contradictoires- à insérer dans cette équation. Quel programme ? Quelles destinations ? Quelle durée ? Quelle taille ? Quelles performances ? Quel équipage ? Quel équipement ? Tout cela tournait sans cesse dans ma tête. Au point que cela finissait par me stresser. »

3

Trouver le bon bateau

Stephen est un homme d’action. La bonne façon de trouver des réponses à ses interrogations était de vivre et de naviguer.

Enfant, il avait usé ses fonds de ciré sur le plat bord de petits dériveurs. Plus grand, il avait goûté aux catamarans de sport. C’était avant d’aller s’éclater dans les airs.

 

Mais puisqu’il sait que l’être humain progresse par essais et erreurs, Stephen a acquis un premier voilier de croisière. Et il s’est trompé. C’était pourtant un catamaran réputé rapide, ce 52 pieds. Stephen ne concevait pas de descendre d’un avion pour monter à bord d’un escargot. Mais l’as de la haute voltige a cru bien faire en lestant son yacht de tous les équipements de confort qui facilitent la vie… à terre. Air conditionné, congélateur, lave-linge et lave-vaisselle, dessalinisateur, écran plat, et bien évidemment générateur, et l’on en passe. On lui avait vanté la vitesse de son premier yacht et cette caractéristique l’avait convaincu. Au point de ne pas hésiter à dépenser une petite fortune pour l’acquérir.

 

Quelle déception quand il n’est pas parvenu à dépasser les dix nœuds dans 28 nœuds de vent et que le code zéro a fini par exploser !

 

« J’étais déçu. Et je m’en voulais. J’avais ajouté au moins cinq tonnes d’un bazar absolument pas indispensable à un bateau qui en pesait à peine douze lège. J’ai appris à mes dépens combien le poids est l’ennemi de la performance. » Mais d’autres découvertes ont ajouté à sa déception.

 

L’accastillage était mal positionné, le circuit des écoutes, en particulier sous spi, trop compliqué ; les cordages raguaient et s’usaient, les angles d’attaque des winches n’étaient pas les bons. « C’est l’inconvénient de choisir une unité semi-custom. Je me suis aperçu qu’en matière de quête du bateau idéal, tout le monde hésite entre trois formules : le pur prototype conçu et dessiné pour incarner toutes vos idées et tous vos vœux, le semi-custom qui permet de façonner plus ou moins un modèle de base selon vos exigences et le bateau de série auquel c’est vous qui devez vous adapter. Eh bien, mon expérience avec mon 52 pieds m’a permis de constater que lorsque le bateau de série est aussi bien pensé que le Nautitech 44, il répond finalement bien mieux à votre cas, aussi particulier soit-il. »

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4

Erreur de

casting

La haute voltige a habitué Stephen à résoudre seul des équations complexes.

Il n’a pas été dépaysé à la barre de son premier catamaran.

 

« Nous naviguions souvent avec ma femme et nos jeunes enfants. Autant dire que je me retrouvais pour ainsi dire en solitaire. Et très vite empêtré dans des situations ubuesques. Par exemple, le vendeur m’avait certifié que je pourrais réduire la grand-voile depuis le cockpit. En pratique, cela s’est révélé tout simplement impossible. Non seulement je me retrouvais en équilibre sur le roof (quand on prend des ris, c’est qu’il y a du vent et que la mer est agitée, n’est-ce pas ?) mais j’étais même contraint d’escalader le mât. Sans pouvoir compter sur quelqu’un d’aguerri à la barre. C’est tout bête mais extrêmement frustrant. »

 

Quand Stephen a découvert la manœuvre de son Nautitech 44, le contraste l’a émerveillé. Circuit des drisses, drosses et écoutes irréprochable. Prise de ris d’une facilité déconcertante… Ces choses-là peuvent paraître triviales. Tous ceux qui naviguent savent qu’elles sont cruciales. Stephen est un homme lucide. Durant les années de recherche de son « proper yacht », il avait parfaitement identifié ce qui le différenciait de son épouse.

 

Elle n’était pas habitée de la même passion pour les vagues, encore moins pour les courants d’air. Elle n’aime jamais autant le bateau que lorsqu’ils arrivent à destination. Lui, n’est jamais mieux transporté que durant le voyage pour y parvenir. Elle aime le but, il préfère le chemin.

 

C’est peut-être pourquoi sa recherche de sensations l’avait d’abord conduit à regarder du côté de luxueux monocoques américains, construits comme des Stradivarius. Il était même prêt à signer le bon d’achat lorsque sa femme lui a gentiment fait remarquer que leur nombreuse famille aurait moins de place dans un joli sloop de 70 pieds qu’à bord d’un catamaran de 50 pieds… C’est pour cette raison qu’il avait finalement acquis son 52 pieds à deux coques.

 

Jusqu’à calmement réaliser qu’il s’était fourvoyé. Ce qui ne l’a pas empêché de parcourir les Caraïbes, les Bahamas et la côte est américaine, en évitant les ouragans. Mais justement : tous ces milles parcourus lui ont permis de comprendre ses erreurs et de reprendre sa quête du meilleur modèle possible. « Je savais désormais à quel point surcharger un catamaran est pénalisant. Je voulais un plan de pont clair et efficace, une position à la barre qui apporte sensations et maîtrise du bateau. J’avais compris que tout est une question d’équilibre. Entre la performance, la longueur hors-tout, le volume habitable, l’équipement et le coût, il faut trouver le meilleur compromis. Et ce n’est pas évident. »

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Stephen n’est pas rancunier. Il a simplement demandé au constructeur de son 52 pieds un nouvel exemplaire débarrassé de ses défauts. Et s’est cabré quand ce dernier lui a promis de lui fournir une unité nettement améliorée… dans un délai de trois ou quatre ans ! Ce qui n’empêchait nullement cet optimiste de lui réclamer l’acompte prévu dans ses conditions de vente.

5

Les Nautitech

sont apparus

sur l’écran

radar

Stephen n’est pas vindicatif, mais l’état du monde lui inspire une confiance limitée. Échaudé par les évènements récents, il ne veut pas attendre un ciel sans nuages pour vivre. Trois ou quatre ans de délai de fabrication excluaient donc ce constructeur. Beau joueur, ce dernier lui a quand même racheté son bateau quasiment au prix ou lui-même l’avait acheté.

 

Stephen se retrouvait donc sur le quai avec la perspective de devoir à nouveau traverser un océan de doutes. Il visita des chantiers, essaya des catamarans en aluminium et d’autres en carbone. Il interrogea des constructeurs qui tous lui répondaient qu’en aucun cas, ils ne pourraient lui livrer un bateau avant au moins deux ans.

 

Il se tourna vers le marché de l’occasion qui lui parut presque aussi tendu que celui du neuf.

Ce qui semblait permettre aux vendeurs de proposer leurs bateaux à des prix déraisonnables.

 

Après des mois d’une quête parfois décourageante, les Nautitech sont apparus sur l’écran radar de Stephen.

Ils n’en sont jamais ressortis.

 

Avec son épouse, ils ont logiquement commencé par s’intéresser au 46.

Ils étaient engagés dans le processus d’achat de ce grand bateau quand ils ont appris la naissance prochaine du 44 Open.

6

Ce Nautitech avait

été conçu pour eux.

Stephen regarde toujours vers l’avant. La nouveauté l’attire comme un aimant. Des options comme la « smart room », l’atelier prévu dans une cabine avant du 44, le séduisaient.

 

Mieux, la chance lui souriait. L’agent Nautitech de Palma de Majorque l’informait qu’à la suite d’un désistement, l’un des premiers exemplaires de la nouvelle série était disponible.

 

Et prêt à les accueillir dans le port espagnol. Un catamaran neuf, presque totalement adapté à leurs souhaits, disponible aux Baléares, sans aucun délai ? La proposition était irrésistible. Même si la perfection n’est pas de ce monde : sur le papier, Stephen et son épouse préféraient l’option bois sombre pour les aménagements. Mais une fois à bord, ils ont changé d’avis : avec ses boiseries claires, le 44 Open les a conquis au premier regard.

 

Ils ont signé aussitôt. Puis ils sont partis en croisière vers le Portugal et sont revenus comblés.

Avec l’impression que ce Nautitech avait été conçu pour eux.

Stephen est un hédoniste. Il adore barrer son catamaran depuis l’arrière des coques. Il aime par-dessus tout le sentir accélérer à la moindre risée. Il s’est bien gardé de le surcharger. Ainsi a-t-il renoncé à la climatisation. Il se régale dans les manœuvres, au large comme au port. Tout lui semble parfaitement pensé, facile et naturel. A bord, son épouse est aux anges, ses enfants ravis.

 

Stephen est un propriétaire heureux. Bientôt, son Nautitech 44 Open va l’emmener de l’autre côté de l’Atlantique. Ce sera une première pour cet aventurier méthodique. Il partira avec la certitude d’avoir enfin trouvé le bateau adapté. Parfaitement adapté.

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